Le président de l’Olympique Lyonnais, Jean Michel Aulas s’est expliqué sur le transfert de Miralem Pjanic à l’AS Rome. Il a fait l’objet de l’opération dégraissage entreprise par le club lyonnais.
« Je pense que globalement, sur le plan des structures financières, Lyon reste le premier club français, loin devant les autres. On a des réserves, des liquidités. On fait en sorte d’être efficace, pertinent dans les choix. Quand on peut vendre un joueur alors qu’on en a trois autres à ce poste-là, on essaye de faire la meilleure affaire. Pjanic vient de partir, j’en suis désolé, parce que c’est vraiment un très bon joueur et un garçon très sympathique. On pouvait garder Mire et de ne pas encaisser le transfert, mais on n’aurait pas fait jouer Clément Grenier. Avec Ederson et Gourcuff qui allaient aussi revenir. On a fait des choix, ça ne veut pas dire qu’on a des difficultés financières. On en a bien moins que les autres, je dirais. On essaye de tirer à l’avance les conséquences des difficultés économiques. »